Jeunes et médias – le portail d’information consacré à la promotion des compétences numériques

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| Bettina Bichsel

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| Bettina Bichsel

Lisa (nom d’emprunt) a 17 ans. Mais elle est différente des jeunes de son âge : Lisa s'appuie sur les outils numériques.

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[Lien avec l'intégralité de l'article d'Anne Cordier, pour @theconversationdotcom, ainsi que nos recommandations pour les parents, dans notre bio] [Résumé ] En France, le rapport de la «Commission Écrans» suscite de vives réactions, particulièrement sur la problématique sanitaire. Ses 29 propositions, oscillant entre interdiction totale des écrans et nécessité de mieux former au numérique, s'inscrivent dans une « société du risque » marquée par une panique morale quant à la déstabilisation des valeurs sociétales. Pourtant, des études scientifiques concluent à l'absence de lien entre temps passé devant les écrans et incidence sur le développement des enfants, mettant plutôt en avant le rôle prépondérant des facteurs sociaux. Le premier ministre a enjoint l'Éducation nationale de cesser l'usage de «l'écran pour l'écran», ce qui est vécu comme une attaque par de nombreux enseignants au vu de leur production pédagogique en matière d'éducation par le numérique et au numérique. Les programmes scolaires mentionnent d'ailleurs, dès la maternelle, le développement de #compétencesnumériques. Tout au long de la scolarité, celles-ci sont pensées et déployées de façon réfléchie, avec l'appui de la recherche. La question du numérique dans l'éducation dépasse le cadre de l'école. Les parents ont besoin d'informations fiables et de soutien. Ils attendent notamment de l'école la prise en charge de compétences jugées essentielles pour la réussite scolaire et l'intégration sociale de leur enfant. Les politiques publiques tentent de répondre à ces enjeux complexes en favorisant la #coéducation par le/au numérique. Il s'agit de redonner aux adultes l'autorité et le pouvoir d'agir sur leurs propres usages pour ensuite dialoguer avec les enfants, en évitant une conception coercitive de l'#éducationaunumérique. Ce rapport soulève des questions essentielles sur notre société et les médiations parentales et professionnelles, mais succombe parfois à un discours catastrophiste occultant une partie de la littérature scientifique. Miser sur l'interdiction plutôt que sur l'éducation risque de rompre le dialogue et de renoncer à une prise en charge éducative de ces #enjeuxnumériques.

[Lien avec l'intégralité de l'article, en anglais, de Paul Reilly, Senior Lecturer in Communications, Media and...

[Lien avec l'intégralité de l'article, en anglais, de Paul Reilly, Senior Lecturer in Communications, Media and Democracy, University of Glasgow, pour @theconversationdotcom, dans notre bio] ▶ [Résumé de l'article] Le 16 mai, lors de la Journée internationale du vivre-ensemble en paix de l'ONU, on encourage l'écoute respectueuse et la tolérance. Toutefois, la réalité sur les réseaux sociaux dirigés par Mark Zuckerberg et Elon Musk présente un contraste frappant. Facebook, Instagram et X (anciennement Twitter) sont souvent pointés du doigt pour leur rôle dans la propagation de fausses nouvelles et de discours de haine, déstabilisant des démocraties et provoquant des troubles civils, comme en témoignent les propositions du président français en juillet 2023 de restreindre l'accès à ces plateformes pour contenir des émeutes. Ces plateformes se sont éloignées de leur image initiale de promoteurs de paix entre communautés rivales. En réalité, elles profitent de chaque interaction, favorisant des contenus plus incendiaires pour augmenter leurs bénéfices. Depuis l'acquisition de X par Musk, les mesures de protection des minorités ont été affaiblies. La dissolution du Conseil de confiance et de sécurité de Twitter en est un exemple, augmentant les risques de désinformation et d'exploitation. Musk, autoproclamé "absolutiste de la liberté d'expression", ne semble pas favoriser l'apaisement dans les sociétés divisées. Les recherches montrent que Facebook et X ont été utilisés pour inciter à la violence sectaire en Inde et en Myanmar, et même Facebook a dû s'excuser après les émeutes anti-musulmanes au Sri Lanka en 2018. En conclusion, les plateformes de médias sociaux, conçues principalement pour le profit, ne semblent pas être les meilleurs lieux pour la promotion de la paix. Des dialogues intergroupes efficaces nécessitent des protections renforcées pour les minorités et les communautés vulnérables, suggérant qu'un internet public pourrait être une solution plus adéquate pour la réconciliation dans des sociétés divisées. #paixsociale #mediassociaux #libertedexpression #vivreensemble #vivreensembleenpaix #desinformation #dialogue #ElonMusk #MarkZuckerberg

[Lien avec l'intégralité de l'article de David Monniaux, Chercheur en informatique, Centre national de la recherche...

[Lien avec l'intégralité de l'article de David Monniaux, Chercheur en informatique, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Université Grenoble Alpes (UGA), pour @theconversation.fr, dans notre bio] ▶ [Résumé de l'article] Les algorithmes, ces méthodes de calcul autrefois limitées à certains milieux scientifiques, sont aujourd’hui omniprésents et souvent mal compris. Historiquement, le terme a été employé dès le XVIIe siècle pour décrire des procédures de calcul comme la multiplication. Cependant, il existe des algorithmes plus efficaces que ceux appris à l'école, comme celui développé par Anatoli Karatsouba en 1960, qui a révolutionné les approches mathématiques et a eu un impact significatif sur les technologies de cryptage modernes. L'algorithmique, une branche de l'informatique, se concentre sur la conception et l'analyse de ces méthodes. Pourtant, les algorithmes sont souvent perçus comme des "boîtes noires" aux résultats imprévisibles. Cette méprise provient en partie de la confusion entre les algorithmes et les systèmes logiciels plus complexes avec lesquels les utilisateurs interagissent directement, comme les applications GPS ou les systèmes d'admission comme ParcourSup. Ces systèmes intègrent des algorithmes, mais sont également influencés par des modèles imparfaits et des décisions humaines. Le déploiement des technologies d'apprentissage automatique, ou machine learning, a également brouillé les lignes. Contrairement à l'algorithmique traditionnelle, qui nécessite une définition précise des problèmes, l'apprentissage automatique permet aux systèmes d'apprendre à partir de données, souvent sans explication claire des résultats générés, accentuant l'idée de "boîte noire". La compréhension publique des algorithmes est cruciale, car ils jouent un rôle de plus en plus central dans notre société. Il est impératif de démystifier ces concepts et d'encourager un dialogue plus éclairé entre le public et les experts en informatique pour évaluer correctement les technologies et leurs impacts. #algorithmes #machinelearningalgorithms #sciencedesdonnées #IntelligenceArtificielle #Cryptographie #techeducation #InnovationTechnologique

[Lien avec l'intégralité de l'article de Gilles Samyn, Pierre Rion et Luc de Brabandere, de l'association Kaleidi, pour...

[Lien avec l'intégralité de l'article de Gilles Samyn, Pierre Rion et Luc de Brabandere, de l'association Kaleidi, pour lalibre.be, dans notre bio] ▶ [Résumé de l'article] La logique, une discipline cruciale pour le raisonnement valide, reste étrangement absente des cursus de l'enseignement secondaire. Essentielle pour comprendre les règles correctes d'utilisation du mot "donc", elle diffère des mathématiques, bien qu'elles partagent une importance similaire dans la science des algorithmes. Les élèves, aujourd'hui plus que jamais, sont confrontés à une multitude d'informations en ligne, où distinguer le vrai du faux devient crucial. La capacité de déceler les arguments fallacieux est une compétence fondamentale dans un monde numérique saturé par les fake news et autres désinformations. Fréquemment, dans l'enseignement secondaire, l'enseignement de la logique est négligé malgré son importance croissante dans la vie professionnelle et quotidienne. La révolution numérique, symbolisée par des technologies comme #ChatGPT, rend l'enseignement de la logique encore plus pertinent. Les étudiants doivent apprendre à naviguer et à analyser logiquement dans ce nouveau paysage numérique dès leur jeune âge. L'exemple de trois phrases organisées en raisonnements déductif, inductif, et abductif illustre la distinction entre logique et mathématiques, et montre la nécessité d'un enseignement formel de la logique pour conclure avec certitude. Les écoles devraient donc introduire la logique comme partie intégrante des acquis d'apprentissage, en exploitant les révisions des programmes scolaires pour insérer la logique de manière transversale dans les cours existants. Cela offrirait aux élèves les outils nécessaires pour réussir dans un environnement professionnel où les compétences logiques sont de plus en plus valorisées. #Logique #EducationNumerique #penséecritique #fakenews #algorithmes #enseignement #developpementprofessionnel #compétencesfutures #educationauxmedias #littératienumérique